vendredi 22 juillet 2016

Le Phénomène Pokemon GO - José Luis Iglesias


Depuis quelques semaines, des millions de personnes partent à la recherche des Pokémons. Ce jeu a provoqué des situations ahurissantes : une autoroute bloquée par 200 personnes tentant de capturer un Mew, des coups de feu et ruptures de couples…
Un petit résumé ici.
Qu’est-ce que tu penses de ce phénomène ? Quels sont les bons et les mauvais côtés de ce jeu ? Penses-tu que nous ne sommes plus capables de faire la part des choses entre le réel et le virtuel ? Quels conseils donnerais-tu aux joueurs de Pokémon GO ?


Je ne savais pratiquement rien du phénomène pokemon alors j’ai dû chercher de quoi il s’agissait pour pouvoir donner mon avis sur sujet. D’abord, il faut dire que je suis un peu anti réseau social, en fait, je n’en ai aucun (Facebook, twitter etc). Franchement, je n’arrive pas à comprendre comme les gens peuvent arriver à dépendre autant d’un simple jeu, à mon à vis c’est parce que la majorité des gens n’ont pas de relations sociales ou directement ils n’ont rien à faire et ça c’est une excuse pour se sentir auto réalisé (je ne sais pas si ça se dit en français comme ça)

Tous les jeux, si on y jeu avec modération c’est bien mais a partir du moment où le jeu change notre façon de vivre, d’interagir, mais surtout dès que le jeu affecte la vie des autres, c’est clair que quelque chose ne marche pas et il faut le changer. Le phénomène pokemon est selon ce que moi, j’ai lu, un bon exemple que quelque chose ne marche pas trop bien.

Voilà, cela c’est la question !!! Où est la réalité et la fiction ? Je comprends que les enfants se trompent, mais les adultes ? Ça c’est ce qui m’étonne !!! Ta question est très bien posée mais franchement je n’ai aucune réponse. Ce que je sais c’est que s’il y a des adultes qui ne savent pas s’ils sont dans la réalité ou dans la fiction ça me fait peur parce qu’ils sont soit fous soit malades.

Mes conseils sont clairs : pour les enfants, qu’ils s’engagent dans le sport et dans les études, aux adolescents qu’ils cherchent des gars ou des filles, et pour les adultes qu’ils gardent leur enfants qu’ils les amènent au sport et qu’ils fassent attention aux couples de leur fils adolescents. Pour tout le reste, qu’ils cherchent un loisir sain en dehors de la technologie.

Pour finir, il est clair que la technologie a amélioré nos vies mais il faut l’utiliser avec attention. 

Une dernière réflexion, vous saviez que nos vies sont contrôlées par les gouvernements, chaque fois qu’on télécharge une application toutes nos données appartiennent à quelqu’un… J’aimerais bien être libre, mais malheureusement je ne le suis pas du tout !

lundi 18 juillet 2016

Différences Suisse / Espagne par José Luis Iglesias Claros


Franchement, je ne connaissais pas beaucoup la Suisse, simplement je savais que c’était un petit pays en centre Europe où les gens et les entreprises du  monde entier amenaient leur argent parce que comme ça ils ne payaient pas d’impôts. Je savais aussi que ses habitants étaient très polis, qu’ils  avaient toujours été neutres dans tous les conflits de l’Europe et qu’ils n’appartenaient pas à l’Europe parce que comme ça ils pouvaient continuer à avoir leur haut niveau de vie. Cela est grosso modo ce que je savais de la Suisse.
Ce que j’ai rencontré quand je suis arrivé c’est un pays où les gens amènent de l’argent (bien que de moins en moins) et où effectivement les habitants sont très polis. C’est un pays où tout est extrêmement organisé. En ce qui concerne les gens, ils ont l’air d’être heureux parce qu’ils ont du travail, une vie tranquille, peuvent voyager autant qu’ils veulent etc, en apparence on peut dire que c’est le pays parfait pour vivre. Moi en tant qu’espagnol, ce qui me manque c’est la spontanéité, le beau temps et la différence qu’il y a par rapport aux relations sociales. Mais bon, malgré tout c’est un pays où on peut bien vivre. Ce qui m’étonne le plus c’est qu’il n’y a pas beaucoup de monde dans la rue, franchement je ne sais pas où ils sont…
C’est vrai qu’il y a quelques différences par rapport à l’Espagne, par exemple, les horaires. Tout est deux heures en avance c’est-à-dire, les gens se lèvent, dinent etc deux heures avant, mais bon,  c’est quelque chose auquel je peux m’habituer. Le pire pour moi, comme j’ai dit avant ce sont les relations sociales, quelque chose de très important pour moi et qui me manque. Ici parfois si tu as un rendez-vous pour souper avec tes amis ou avec un couple c’est normal qu’il y ait des temps morts, ça veut dire, des temps où personne ne parle. Au début, je pensais que c’était parce qu’ils n’avaient pas beaucoup de choses à se raconter mais avec le  temps je me suis rendu compte que c’était quelque chose de normal ici.
S’il n’y a pas beaucoup de gens dans la rue, à mon avis c’est à cause du temps parce que c’est vrai que s’il fait beau les gens sortent de chez eux. En fait, je crois que la majorité des différences entre nous et eux sont à cause du temps.

Pour finir, malgré toutes les différences qu’il y a entre nous et eux et avec un petit peu de patience je peux m’adapter, du moins c’est je que je pense aujourd’hui, on verra bien comment ça se passe dans le future…

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